jeudi 28 juillet 2011

Juliette s'en va



Les pétales au sol se sont déjà décomposés

Je n’ai rien vu venir ou passer, c’est selon

Froid, soleil, pluie, et quoi encore ?

Des baies à grappiller, les Nymphéas de Monet,

Des gymnastes à Lausanne

Un trou dans la cave

Comme un inventaire à la Prévert

Rien d’autre à signaler qu’un essai de traduction

Eternelle rengaine “Comme le temps passe vite !»

Bah ! Juliette reviendra

L’été prochain